Le Bitcoin, cette cryptomonnaie qui a fait couler tant d’encre depuis sa création, pourrait bien être au cœur d’une stratégie secrète des gouvernements européens. Si certains peuvent douter, de plus en plus de politiques pro-Bitcoin émergent sur le Vieux Continent. La question se pose alors : s’agit-il d’un développement fortuit ou d’une véritable stratégie concertée ?
Le développement discret des politiques pro-Bitcoin en Europe : une stratégie concertée ?
De plus en plus d’États européens initient des politiques qui semblent discrètement encourager l’usage du Bitcoin. Ces politiques, bien que souvent pas explicites, peuvent être observées à travers diverses mesures :
- Fiscalité accommodante pour les cryptomonnaies : Certains pays ont choisi de ne pas imposer de taxes sur les plus-values réalisées avec le Bitcoin, incitant ainsi à l’investissement.
- Soutien aux start-ups blockchain : Dispositifs de financement et d’accompagnement pour les entreprises utilisant la blockchain se multiplient.
- Éducation financière : Des programmes éducatifs sur la blockchain et les cryptomonnaies fleurissent dans les universités.
Nous devinons ici une volonté d’assurer la compétition de l’Europe dans la révolution numérique.
Étude comparative des investissements publics cachés dans le Bitcoin
Certains gouvernements pourraient-ils avoir caché leurs investissements dans cette cryptomonnaie ? Plusieurs indices pointent dans cette direction. Il n’est pas rare que des fonds souverains investissent dans des actifs plus risqués pour dynamiser leurs économies. Par exemple, la Norvège, à travers son immense fonds souverain, est connue pour diversifier ses actifs.
Un rapport de Chainalysis a révélé que plus de 1,3 million de Bitcoins sont détenus par des entités non identifiées, lesquelles pourraient bien comprendre des États. Si l’on ajoute à cela les transactions anonymes facilitées par des plateformes décentralisées, le puzzle prend forme.
Les conséquences potentielles d’une adoption officielle du Bitcoin par des États membres de l’UE
Imaginons un instant que des pays de l’UE adoptent officiellement le Bitcoin. Cette décision aurait des implications majeures :
- Stabilité renforcée du Bitcoin : Son cours, souvent volatile, pourrait se stabiliser, bénéficiant d’une légitimité accrue.
- Incitations à l’innovation : Avec une adoption étatique, les possibilités technologiques autour de la blockchain s’étendraient considérablement.
- Risques géopolitiques accrus : Les relations au sein de l’Union pourraient se tendre si certains membres persistent dans une adoption rapide sans consultation commune.
Selon nous, l’adoption du Bitcoin par des gouvernements européens pourrait réécrire la cartographie économique. Cela dit, si des États européens décident de franchir le pas, cela marquerait une étape cruciale dans la course à l’innovation numérique.